PARIS ANGERS RESENDE

Allô la Terre, ici Resende,

Voilà déjà deux semaines que nous sommes à Resende et notre quotidien est toujours rempli de surprises et de travail sur le chantier. Après quelques finitions, la rénovation du parc est enfin achevée. À présent, nous nous consacrons aux salles de classe : ponçage, décapage et peinture des murs comme des fenêtres. Mercredi, nous avons inauguré la première salle refaite de haut en bas. Les enfants sont ravis, ils nous offrent même un dessin à chacune en remerciement.

Mine de rien, le travail sur le chantier est physique et la fatigue se ressent. Les soeurs sont aux petits soins et après une tisane à la camomille et un bon repos, nous voilà reparties. Suite à la proposition de la coordinatrice de l’école primaire Sagrado Coração, où nous travaillons, nous assistons aux cours de mathématiques ou d’anglais de terminale de l’école Santa Angela. Rencontrer des jeunes de notre âge est très enrichissant. Discuter avec eux et échanger quelques passes de volley nous a permis de voir Resende sous un angle nouveau. Avec l’assistante sociale, nous avons ensuite pu être accueillies dans trois habitations très modestes et rencontrer quelques familles des enfants de l’école. Cette visite au coeur de la population locale nous a fait prendre conscience de la réalité de la vie à Resende. Parfois trois pièces pour vivre à cinq, l’endroit est exiguë et la douche se fait dehors, derrière un rideau. Nous sommes frappées par ce dénuement mais également par la chaleur de l’accueil qui nous est réservé.

Avant notre départ, nous avons à coeur d’organiser quelques évènements pour les enfants qui nous ont si bien accueilli : Olympiades pour les grands, inauguration du parc pour les plus jeunes. Nous clôturons enfin la semaine par un grand goûter français fait maison que nous ponctuons par un discours. C’est l’occasion pour nous de dire au revoir à tous, en partageant chants et danses. À présent, nous nous consacrons à finir les derniers travaux que nous avons entamés.

Amicalement vôtre, l’équipe Paris Angers Resende

Bonjour de Resende,

Ou nos aventures continuent à se dérouler dans une ambiance joyeuse. Un peit récapitulatif de nos dernier jours : 

Vendredi, après une matinée de travail acharnée nous nous sommes accordées une après-midi de visite à l´académie militaire de Resende, la seul dans tout le Brésil

Samedi, nous avons profité du week-end pour avancer dans les salles de classes (4 en même temps notre record) : ponsage, peinture, anti-rouille... Une petite suprise est venu, les murs commençaient à tomber. Notre tâche se complique. Armées de nos marteaux nous avons fait tombé des lambeaux de murs, pour que les ouvriers puissent le cimenter comme il faut ensuite. Bref notre quotidien Brésilien.

Dimanche, première grasse matinée, bien mérité... Nous avons ensuite fait quelque petite courses chez les épiciers du coin :achat de café, de chapeaux traditionnel, confiture... L´après –midi fut très productives, nous avons bien avancé les classes et nous avons pu préparer les olympiades pour les enfants.

A très vite pour la suite de nos péripéties,

Equipe Paris Angers Resende

Le 5 août

A Resende

Voilà déjà cinq jours que nous avons décollé, quitté l’été français pour gagner l’hiver brésilien. Après deux jours de voyage (voiture, avion, métro, bus..) nous sommes arrivées bien fatiguées mais heureuses de poser enfin le pied sur ce sol inconnu. La communauté ursuline nous accueille à bras ouverts, les soeurs redoublent d’imagination pour nous faire toujours plus plaisir, découvertes de la ville, de nouveaux mets et remerciements éternels. Nous avons pu faire la connaissance des enfants, de leurs chaleureuses accolades et de leur joie communicative. Même si nous ne suivons plus les exploits français à Londres, nous assistons aux talents de nos footballeurs en herbe. Nous avons hâte de retrouver les enfants lundi à l’issue du week end.

Hier nous avons profité du calme de l’école pour effectuer un état des lieux, conclusion : il y a du pain sur la planche. Nous avons commencé à lessiver les jeux de la cour de récréation pour le moment inutilisables. Les balais, brosses, chiffons, pinceaux n’auront bientôt plus de secrets pour nous. Pour bien démarrer la semaine, nos sommes aujourd’hui allées au sanctuaire marial national d’Aparecida. Nous avons été étonné par le dynamisme et la joie des nombreux fidèles au cours de la célébration eucharistique.

En attendant de vous donner de plus amples nouvelles, nous vous assurons de toute notre amitié.

L’équipe Paris-Angers-Resende

Camille, Laure, Aglaé, Elodie, Floriane, Marie-Océane, Marine, Marie-Astrid, Pauline, Anne et Sr Colette-Marie

Week-end parisien...

Samedi 23 juin, nous avons dû nous lever bien tôt en effet, mais nous avions une raison de la plus grande importance : aller sur Paris pour rencontrer Laure, Floriane et Aglaë et aider dans le déménagement de leur foyer. Vers 8h30, nous (Sœur Colette-Marie, Anne, Elodie, Augustin et moi) sommes donc partis dans la Clio de la communauté direction Paris, et plus précisément le foyer Serviam, rue Gay-Lussac, dans le 5e arrondissement.

Après quelques bouchons et quelques idées plus ou moins saugrenues pour nous sortir de là  ("mettons Elodie sur le toit ! Elle fera office de gyrophare !!"), nous arrivons enfin au foyer Serviam vers 13h30 (Marie-Astrid était arrivée un peu plus tôt par le train). Nous sommes très bien accueillis et, étant donné que tout le monde commence à être affamé, nous montons sur la terrasse prendre notre pique-nique en compagnie des trois filles et de Sœur Marie-Armelle (la directrice du foyer Serviam). Durant l'après-midi, nous avons descendu quelques cartons, eu des temps de prière avec les sœurs et nous avons commencé à élaborer notre charte, charte de conduite et de respect pour que tout se déroule au mieux durant notre séjour au Brésil. Pendant ce temps de charte, nous avons également rencontré Creômenes, un frère jésuite brésilien en France pour trois ans. Il a tout d'abord écouté nos questions puis il y a répondu autant que possible. Nous avons donc appris énormément de choses sur la culture brésilienne (les gens sont très tactiles, ils n'hésitent pas non plus à aller vers les gens pour faire leur connaissance et apprendre des choses sur eux), la cuisine brésilienne (nous, chanceuses que nous sommes, auront le droit aux fruits frais ainsi qu'aux plats typiquement brésiliens car cela fait partie de leur quotidien !), les modes de vie spécifiques à ce pays (la journée est dite en 12-12 : douze heures de jour et douze heures de nuit, les brésiliens vivent donc principalement au rythme du soleil et c'est ainsi que sont calées leurs diverses activités) ainsi que des choses beaucoup plus formelles (tel que la politique ou encore le système scolaire). Cette rencontre nous a donc été plus que formatrice et le résultat est que nous avons encore plus envie de partir là-bas : attendre le mois d'août va être difficile dans ces conditions !

Le soir, après un dîner avec la communauté, nous nous sommes rassemblés pour un petit quizz sur les ursulines, Ste Angèle, Serviam ... toutes les questions n'étaient pas si facile que ça et il me semble que nous avons beaucoup appris ! (mais nous avons aussi beaucoup ri, surtout moi à vrai dire !) Juste après, nous sommes partis dans deux voitures (conduites par des sœurs de Serviam) pour voir "Paris by night". Nous sommes donc passés, en compagnie des parisiennes, sur les Champs Elysées, devant le Louvre, la Tour Eiffel ... Puis nous sommes rentrés vers 23h30. Mais pour les plus courageux la journée n'était pas  terminée ! Ainsi, Sœur Agnès-Marie, SœurMarie-Armelle, Floriane, Marie-Astrid, Laure et moi avons pris notre courage (à deux pieds) et sommes allées marcher dans le 6e arrondissement, vers le Panthéon et Notre Dame de Paris. Ce n'est que vers une heure du matin que nous avons pu rejoindre notre chambre et surtout, les bras de Morphée ...

Le lendemain matin, dimanche 24 juin, à 9h, nous avons pris le petit-déjeuner avec la communauté. Et puis juste le temps d'un brossage de dents, nous étions déjà repartis, direction l'église non loin de là, où nous avons donc pu assister à la messe puis à l'issue de celle-ci, vendre jus de pomme, porte-clefs et confitures. Après être retournés au foyer et après qu'Aglaë ait fait les comptes, nous avons appris que cette vente venait de nous rapporter 199 euros ! (les paroissiens ont été extrêmement généreux à notre plus grande surprise)

Nous avons déjeuné avec la communauté puis nous avons entamé le GRAND déménagement. Petite explication : le foyer est TRÈS grand et compte six étages ainsi qu'un sous-sol. Comme toutes les affaires étaient à déménager pour les travaux qui vont y être effectués cet été, nous avons utilisé nos petits bras musclés pour descendre (par les escaliers le plus souvent, par le vieil ascenseur de temps à autres) armoires, commodes, lampes, chaises et autres "choses indéfinies" à divers endroits du foyer : la réserve, les encombrants, le Père Lachaise, le garage ... Mais nous n'avons pas été déçus par les aboutissements de cet intensif après-midi : un somptueux goûter avec la communauté.

Vers 17h, Marie-Astrid est allée prendre son train puis vers 17h30, ce sont Sœur Colette-Marie, Anne, Augustin et Elodie qui sont repartis dans la Clio. Quant à moi, votre chère narratrice, je suis restée pour la fin de journée au foyer Serviam car d'autres aventures m'attendaient dans la capitale ! ...

Marie-Océane

Marché place Lafayette : le retour

            Samedi 16 juin, sur la place Lafayette à Angers se tenait … un autre marché ! (comme vous l’avez peut-être déjà remarqué, il est vrai que les marchés ont généralement un caractère hebdomadaire) Mais cette fois-ci, la matinée ne s’est pas du tout, mais alors pas du tout déroulée comme la précédente. Explication :

Cette semaine, il est vrai que le soleil n’était pas au rendez-vous, loin de là. Prévision pour le samedi matin ? Pluie, pluie, PLUIE. Rien de guère réjouissant en somme. Nous avions donc pris la décision de ne vendre que jus de pomme, porte-clefs, géraniums et orangers du Mexique.

            Le samedi matin, nous nous sommes encore levés de très bonne heure aussi sommes-nous arrivés sur place sur le coup des huit heures. Une fois sur l’emplacement, la pluie a redoublé d’intensité. Les gens nous voyant nous installer nous demandaient, interloqués, si nous avions un parasol. Hélas non. Nous allions devoir faire sans. « Eh bien bonne chance alors ! » nous lançait la plupart. Mais avec cette pluie diluvienne, les clients matinaux n’étaient pas au rendez-vous et nous croisions très peu de monde (avant que j’oublie, le « nous » comprend Elodie, Camille, Augustin et moi). Même en souriant, en disant bonjour et en interpellant les passants, notre stand n’avait guère de succès. Blottis sous nos petits parapluies, nous inspirions plutôt la compassion. Les gens qui passaient nous regardaient souvent gentiment du coin de l’œil, nous faisant des blagues sur le temps « merveilleux » auquel nous avions droit. Vers les dix heures, Augustin nous a quittés. Nous fûmes bientôt rejointes par Guillaume, et ceci environ une demi-heure après le départ d’Augustin. Entre dix heures et onze heures, on vit un peu plus de passants. Vers 10h50, alors que nous étions serrés sous un large parapluie, une dame âgée armée d’une canne passe devant notre petit étal, et nous interpelle : « Voulez-vous que je vous mette un coup ? », « Non merci ça ira » répond Elodie. Comme quoi, il y a toujours de quoi s’amuser sur un marché, surtout quand on s’y attend le moins !

            Voyant qu’il y avait de moins en moins de monde qui arrivait, nous avons commencé à plier bagage vers midi, midi et demi. Nous étions bien humides, et avions un peu froid. De retour au foyer, nous avons pu faire nos comptes : cette vente nous a rapporté tout de même près de 140 euros. Résultat : dans toutes les actions que l’on entreprend, il peut toujours y avoir des hauts et des bas, cela arrive même très souvent et il nous faut apprendre à faire avec … et continuer d’avancer en gardant le sourire !

Marie-Océane

                Vendre gâteaux, fleurs et jus de pomme ? C’est notre affaire !

Samedi 2 juin, sur la place Lafayette à Angers se tenait … un marché ! Ayant obtenu (après moult rebondissements, soit dit en passant) l’autorisation de tenir un stand sur le marché, nous avons pu nous y rendre afin de vendre divers gâteaux, du jus de pomme, des fleurs et des porte-clefs pour le financement de notre projet. Mais revenons un jour en arrière.

Vendredi après-midi, tout le monde s’affairait en cuisine ! Anne faisait des crêpes par centaine, Marie-Astrid et Pauline faisaient des gâteaux au chocolat tandis que je préparais des gâteaux au yaourt. Cela sentait très bon et tout avait l’air succulent. En fin d’après-midi, Augustin est passé au foyer afin de nous aider à charger les bouteilles de jus de pomme dans la voiture et oh ! Surprise ! Il nous avait apporté des géraniums ainsi que des orangers du Mexique pour vendre sur le marché ! Nous avons donc tous pu charger la voiture en jus de pomme, porte-clefs, gâteaux en tout genre, panneaux présentant notre projet ainsi que le matériel nécessaire à notre bonne installation.

Le lendemain matin, nous sommes donc partis de bonne heure (eh oui ! Nous devions être sur place vers 7h30 afin de préparer notre petit étal et recevoir les clients matinaux, dur dur !). Ainsi, Anne, Elodie, Augustin et moi avons commencé notre vente sous un beau soleil. Il est vrai qu’à huit heures du matin, il n’y a pas foule, mais petit à petit, les gens se réveillant et sortant de chez eux, nous avions de plus en plus de monde. Mais il se trouve que la plupart des gens qui viennent au marché ont leurs habitudes (commerçants de référence, produits à acheter à chaque fois …) alors Elodie nous a montré comment attirer le client … et cela fonctionnait à merveille ! Disant bonjour, interpellant les passants, notre stand avait de plus en plus de succès. A notre grande surprise, les fleurs intéressaient beaucoup et à chaque fois que quelqu’un s’y intéressait, nous laissions place au grand Augustin, spécialiste de la flore. Au cours la matinée, nous fûmes rejoints par Guillaume qui venait nous aider dans notre vente.

Finalement, vers la fin du marché (environ 13h30), nous étions un peu las, nous avions faim, certes, mais le plus important et que nous avions vendu toutes nos crêpes, une vingtaine de bouteilles de jus de pomme, des parts de gâteaux, beaucoup de fleurs et quelques porte-clefs. Après avoir tout débarrassé, rangé et nettoyé, nous avons enfin pu faire nos comptes : cette matinée nous avait rapporté 255 euros ! Résultat : plus que positif … et à refaire sans attendre !!

Rendez-vous le 16 juin sur la place Lafayette pour la suite de nos aventures ! :)

                                                    Marie-Océane

                                                                       L'équipe en mode sérieux (Anne prend la photo...)

                                                                                  les fleurs et leur grand spécialiste

                                                                       

Marie-Océane

                      Je suis Marie-Océane Vignaud, j’ai 18 ans. Je suis actuellement étudiante à l'IPLV (Institut de Perfectionnement des Langues Vivantes) à l'UCO (Université Catholique de l'Ouest), à Angers et j'ai 18 ans. Aimant énormément les langues, voyager est donc pour moi une passion première, et cela depuis toujours. J'aime voyager, découvrir d'autres cultures, rencontrer des personnes, pouvoir échanger avec elles ! Je m'intéresse aussi à l'humanitaire depuis peu et cela serait pour moi un plaisir d'en apprendre un peu plus à ce sujet, pouvoir avoir quelques expériences, voir ce que c'est réellement, ce qui se cache derrière ce nom si vaste mais si attrayant ! C'est pour cela qu'en entendant parler du projet, je m'y suis tout de suite intéressée, cela avivait encore plus tous mes désirs les plus profonds, je sentais que c'était ce qu'il me fallait réellement : un voyage de l'autre côté de l'Océan Atlantique afin de pouvoir rencontrer des personnes d'une toute autre culture, de pouvoir donner pour le bonheur de tous et, à la fin, de m'être moi-même enrichie de toutes ces fabuleuses aventures. C'était l'occasion parfaite pour moi de faire ce dont j'avais toujours rêvé. Après avoir annoncé que je voulais être de l'aventure, j'ai alors pris quelques responsabilités pour mener ce projet à bien : j'ai participé à l'opération « jus de pomme » où nous avons fait notre propre jus de pomme puis l'avons vendu (venant moi-même de la Charente-Maritime, j'informe le maximum de personnes de la vente de jus de pomme en faveur de ce projet et comme beaucoup sont intéressées, je m'occupe de cette redistribution), j'ai pris quelques boîtes de porte-clefs pour en vendre au plus grand nombre possible tout en faisant connaître notre projet, j'ai postulé pour le prix de l'Initiative du Crédit Agricole afin d'essayer d'avoir le plus de fonds possibles pour ce projet solidaire et j'ai également préparé des gâteaux pour la soirée dansante qui s'est tenue fin-janvier. De plus, devant faire un stage de 20 jours minimum dans le cadre de mes études, j'ai récemment appris que ce projet humanitaire et solidaire au Brésil pouvait tout à fait s'insérer dans ce contexte. Je devrais donc par la suite rédiger un dossier concernant ce que j'aurais vécu pendant ces 20 jours. Dans ce cadre, mon dossier fera également office de rétrospective et de véritable témoignage. En effet, après ce temps passé au Brésil, nous avons bel et bien prévu d'être tous présents pour témoigner de ce que nous aurons vécu, pour les personnes nous ayant soutenus, aidés mais aussi toutes les personnes intéressées et désireuses d'en savoir plus sur ce projet. Enfin, nous espérons qu'un projet comme celui-ci donnera l'envie et des idées à d'autres !

Marine

Je m’appelle Marine Vaillant, j’ai 18 ans et je suis étudiante au Groupe ESA (Ecole Supérieure d’Agriculture)  à Angers en première année dans le cursus Ingénieur. Pour le projet Paris Angers Resende, je suis chargée de tenir la comptabilité de la vente du jus de pommes que nous avons réalisé le 13 Novembre dernier ainsi que de veiller au stock. Je suis très motivée pour ce projet car c’est enrichissant de s’engager et en plus de le faire pour des personnes qui en ont besoin. On a un objectif concret à atteindre. Il faut faire des efforts. On crée des liens entre nous. Il y a de la motivation mutuelle. C’est la première fois que je me lance dans un tel projet.

Laure

Bonjour, je m’appelle Laure, j’ai 18 ans.  Je suis née à Nancy, j’ai vécu pendant  11  ans à Arras et je suis actuellement à Paris Serviam pour mes études supérieures en BCPST. J’étudie afin de devenir ingénieur agronome en environnement, je voudrais aider des pays en développement. Les relations humaines sont une part importante qu’on a tendance à trop négliger.  Le Brésil est donc une expérience qui me tient particulièrement à cœur,  pour tous ces aspects. J’aime bien nager, marcher, lire et faire du théâtre. Si je devais me résumer en trois mots je dirai : déterminée, attentionnée et bavarde…

Floriane

Je m'appelle Floriane, j'ai 18 ans et suis actuellement en première année de médecine à l'université Paris Descartes et j'aimerais à l’avenir pouvoir exercer le métier de médecin généraliste. J'envisage au cours de mes études de faire stages et missions de volontariat dans le domaine médical. J’ai déjà pu par le passé participer à des actions solidaires ; (brocantes, ventes de gâteau, fabrication et vente de calendrier et cartes postales) dont le bénéfice profitait à la scolarisation d’enfants autistes ou encore à des jeunes défavorisés en Roumanie. Je souhaite désormais pouvoir réellement partir « sur le terrain ». Aussi, Je suis très motivée par le Projet Paris-Angers-Resende et impatiente de pouvoir y apporter mon aide, en consacrant mon temps et mon énergie à sa réalisation. Pour financer le projet je participe à la vente de gâteaux, jus de pommes et porte-clefs. A la recherche de partage et d’échange je suis impatiente de rencontrer la population locale et surtout les enfants